MAELYS ♕ sometimes i think i was born backwards.

Evaëlle Maelys Monroe.

« Vivre est facile avec les yeux fermés. - John Lennon. »

© tumblr - hemoandnaya.

futilités et questionnaire

NOM: Evaëlle Maelys. PRÉNOM: Monroe, oui comme la belle et délicieuse blonde des années soixante. AGE: Vingt-deux ans et déjà la peur de vieillir m'envahi. DATE DE NAISSANCE; LIEU DE NAISSANCE: Vingt-six octobre dans la magnifique ville de Londres, en Angleterre. STATUT SOCIAL: Célibataire et complètement amoureuse de cette fille, malheureusement. STATUT FINANCIER: Ni riche, ni pauvre, je dirais dans la simple moyenne.PROFESSION/ÉTUDES: Professeur de danse depuis quelque mois, j'enseigne de tous styles. QUELLES SONT TES CINQ PRINCIPALES QUALITÉS: Je suis généreuse, honnête, drôle, souriante et maligne. QUELS SONT TES CINQ PRINCIPAUX DÉFAUTS: J'ai tendance à m'emporter pour un rien, je suis impatiente, manipulatrice, ironique, impulsive et complètement paranoïaque.

POURQUOI HABITER A PARIS? : Lorsque mon père à eu obtenu ce job à Paris, j'en ai voulu à la terre entière. Je n'avais que dix ans, certes, mais Londres était ma ville, mon chez-moi et je ne voulais pour rien au monde partir pour la France. Évidemment je n'ai pu rien dire, je devais suivre, sans le moindre commentaire, comme n'importe quelle gamine doit suivre ses parents jusqu'à l'autre bout du monde. Les débuts furent horribles et pourtant, aujourd'hui je ne quitterais pas Paris pour tout l'or du monde, jamais ô grand jamais. Je ne sais pas ce qui me fait autant aimer cette ville, peut-être est-ce Juliette, comme peut-être est-ce tout simplement la ville elle-même, je l'ignore, mais je pourrai jamais partir, jamais
QUE SIGNIFIE PARIS POUR VOUS ? : Paris signifie tout pour moi, c'est aussi simple. L'amour, l'amitié, la passion, tout ce que je chérie se trouve dans cette magnifique ville. Vous savez, lorsque les touristes parlent de Paris, ils mentionnent les endroits tous plus beaux les uns que les autres, ils précisent à quel point nos cafés sont délicieux et certains inventent même les pires rumeurs au sujet de l'odeur, seulement, vous ne connaissez pas réellement Paris avant d'y avoir habiter. C'est magique, parfait et malgré les problèmes, cette ville signifie plus qu'une simple ville comme une autre à mes yeux.
L'ENDROIT QUI VOUS MARQUE LE PLUS ? : Je crois que comme beaucoup, il s'agit de la tour Eiffel. Je ne sais pas ce qui me marque le plus de cet endroit, c'est une simple tour, où il y à de simples trucs et pourtant, chaque fois que je la vois, je ne peux m'empêcher d'être émerveillée, comme si il elle avait un truc de magique. J'adore passer des heures, assise sur l'herbe à la contempler ou encore me trouver beaucoup de fric et aller manger dans ce resto en haut de la tour, c'est un truc de fou, mais cette tour est sans doute l'une des plus belles choses de tout la France au grand complet.
VOTRE ENDROIT PARISIEN FÉTICHE ? : Les galeries Lafayette. Comme n'importe quelle femme de ce monde, je suis une dépensière, je tuerais pour deux-trois vêtements Chanel et rien ne vaut le bonheur que vous éprouvez lorsque vous venez d'acheter une paire de Louboutins. Lafayette c'est mon paradis, je dois y mettre les pieds six fois par semaines et encore. D'accord, il est plutôt rare que j'y sorte avec de quoi entre les pattes, je ne suis pas riche et à trois cent euros la chemise, c'est pas tous les jours que je vais dépenser là-bas. Seulement juste d'y mettre les pieds, d'admirer, c'est mon petit plaisir de la vie quotidien.
VOTRE PLUS GRAND RÊVE ? : Que l'école ne ferme pas ses portes. Que puis-je dire d'autre. J'ai des milliers, voir même des millions de rêves, seulement celui-ci figure en première place. Il s'en viendra un miracle si je peux trouver deux mille euros avant la fin du mois. Je crois que s'ils m'enlèvent mes cours, je vais perdre la tête. Je vis pour danser, je vis pour faire apprendre aux autres et je sais pas ce que je ferais sans. Je m'évade à travers ces cours, je réussi à étouffer ma rage dans la danse, alors oui, mon seul et premier rêve serait que l'école continue et continue encore. ϟ Elle rêve de faire le tour du monde sans pour autant quitter à tout jamais Paris. ϟ Elle envie le fait que Juliette n'aie pas peur de s'afficher telle qu'elle est et tuerait pour avoir autant d'assurance. ϟ

Prêtes-moi ta plume

Maelys à des origines Portoricaines. ϟ Elle danse depuis l'âge de sept ans. ϟ Elle est bisexuelle, ou homosexuelle, elle n'en sait rien. Tout ce qu'elle sait c'est qu'elle est éperdument folle de sa meilleure amie. ϟ Son caractère de cochon fait souvent fuire les gens. ϟ Elle à une obsession avec les films de Disney, son préféré restera à toujours jamais Bambi. ϟ Sans son portable et son ipod, elle ne vit pas. ϟ Lorsqu'elle avait dix-neuf ans, elle a passé à un cheveux d'étudier la sexologie. ϟ Elle est très ouverte et peut parler de tout et n'importe quoi. ϟ Les coups d'un soir, elle connait très bien ca. ϟ Bien qu'elle ne vive plus avec eux, Maelys à gardé un très bon contact avec ses parents et va souvent souper avec eux. ϟ Il lui arrive de fumer la cigarette lorsqu'elle est stressée ou en colère. ϟ C'est une complexée de la vie et elle est très stricte en ce qui concerne la nourriture et son poid. ϟ Elle à un petit chiot qu'elle à dénommé Luck et elle ne vit pas sans lui, c'est comme son enfant. ϟ C'est une pro des jeux vidéos, surtout les plus violents, va savoir quel est le lien. ϟ Elle à les chats en horreur, selon ses dires ce sont des créatures hypocrites et méchantes. ϟ Elle à la phobie du feu et la simple vue de feux d'artifices la rend complètement paranoïaque, sauf si elle se trouve bien loin. ϟ À chaque fois qu'elle écoute Grease, elle à des étincelles dans les yeux. ϟ C'est une travailleuse acharnée et elle est parfois un peu trop dure envers ses élèves. ϟ Elle ne vit que pour la danse. ϟ Elle à longtemps crue au père-noël et à la fée des dents. ϟ Elle admire l'amour que ses parents se portent l'un envers l'autre et le fait qu'ils soient mariés et encore fous d'amour après tant d'années la motive à se dire que l'amour existe quelque part dans ce monde à la con.

Et toi, derrière l'écran ? tu cliques dessus et t'y es :

Automne mille neuf cent quatre-vingt-dix-neuf.

« Tu pleures ? » Je relevai doucement la tête, luttant pour pas lui éclater en sanglots au visage. « Ça te concerne pas. » Je lui avais dit sur un ton froid, remplis de haine et pourtant, du haut de ses trois pommes, elle ne daigna pas. Toujours ce sourire aux lèvres, elle prit place à mes cotés et détourna le regard vers moi. « Tu sais, je me fiche de ce que les autre disent, moi je trouves que t'as l'air gentille. » Elle était différente des autres, elle avait ce je ne sais quoi qui m'avait charmé aussitôt. Avec ses quelque dents en moins, son corps tout maigrichon et ses dizaines de tresses qu'elle avait dans ses longs cheveux blonds, elle inspirait tout de suite la joie de vivre, le bonheur absolu et surtout, la confiance. « Tu comptes passer tout l'heure du diner ici ? » J'éclatai de rire et hochai de la tête, essuyant avec douceur les larmes qui avaient coulés le long de mes joues. « Je vais pas aller manger à la cafétéria, ils vont tous se moquer de moi. » Elle bougea son nez de gauche à droite, un peu à la façon d'un cochon d'inde, puis m'attrapa brusquement la mains, me tirant avec elle pour que je me lève. « Maintenant que t'es mon amie, plus personne va se moquer de toi, je vais tous leur casser la gueule sinon. » Elle brandit ses petits points devant elle, imitant - très mal - un boxeur, ou un lutteur, je ne savais guère et je ne pus m'empêcher de rigoler à nouveau, chose qui me manquait depuis la rentré des classes. « Tu t'appelles comment ? » Nous marchions en direction de la cafétéria, nos sac à l'effigie des plus grands classiques de Disney à l'épaule. « Maelys. Evaëlle Maelys Monroe, toi ? » Un sourire timide accroché aux lèvres, j'attendis patiemment sa réponse. « T'es pas Française alors ? Moi c'est Juliette, tu sais comme dans Roméo et Juliette. » Je rigolai à nouveau. En trois mois, elle était la première à venir m'adresser la parole et non pas pour m'insulter, elle semblait se foutre des autres, de ce qu'ils pensaient, elle ne vivait que pour elle, tout simplement. Alors que les autres élèves riaient de moi parce que j'étais différente, Juliette devenait peu à peu ma seule amie, ma meilleure amie.

Printemps deux mille neuf.
« Putain Juliette tu pourrais pas baisser le volume un peu ? » Je poussai la porte de sa chambre et me dirigeai vers son système de son, chose qu'elle ne semblait pas pouvoir faire de elle-même. « Tu sais que t'es vraiment casse-pied ? » Je roulai des yeux et me laissai tomber sur son lit, luttant contre l'envie d'éclater de rire. « Tu veux bien m'expliquer ce qui te rend aussi grincheuse aujourd'hui ? » Je soupirai avant de laisser ma tête tomber contre son épaule, un mince sourire aux lèvres. « C'est bientôt le spectacle de danse et j'ai l'impression que personne n'est prêt. » Tout en passant ma main dans mes cheveux, elle attrapa mon menton et me fis un grand sourire. « Tout ira bien, j'en suis certaine. » Je souris puis enfoui ma tête contre son coup - chose que nous avions toujours eu l'habitude de faire. - puis la relevai pour lui faire face. « Je ne sais vraiment pas ce que je ferais sans toi Juliette, j'espère que tu le sais ? » Elle hocha la tête et je ne sais pas ce qui se produit par la suite, mais nous nous retrouvâmes lèvres contre lèvres, emporté dans un doux et profond baiser. Je ne savais pas ce qui nous avait pris, pourquoi nous nous étions retrouvés dans une telle situation, mais à cet instant, j'aurais tout donné pour stopper le temps. Puis, réalisant ce qui se produisait, je me détachai d'un seul coup d'elle, la respiration haletante. « Qu'est-ce qui nous prends ? » Je me levai brusquement, ne trouvant pas les mots ni les gestes à faire après ce qui s'était produit. « Je sais pas ce qui ma prit, j'en suis désolé. » Juliette osait à peine croiser mon regard et je me sentis soudainement mal de m'être détaché d'elle aussi brusquement, comme si j'en avais éprouvé du dégout alors qu'il en était tout autre. Je passai nerveusement la main dans mes cheveux et repris place sur le lit de mon amie, au même endroit où je m'étais assise quelque minutes plus tôt. « Disons qu'il ne s'est rien produ .. » « J'aime les filles Maelys. » coupa-t-elle. J'ouvris grand les yeux, tournai le regard en sa direction et soufflai, n'arrivant pas à croire les mots qu'elle venait de prononcer. Voyant que je ne parlais pas, mon amie poussa un profond soupire et essuya les larmes qui avaient commencés à lui couler sur les joues. « Je sais j'aurais pu le dire avant et je sais aussi que je ne choisie certes pas le meilleur moment pour le dire, mais j'en peux plus de le garder pour moi merde. J'en ai marre de jouer l'amie qui doit te conseiller sur ta vie sentimentale alors que je voudrais t'avoir que moi. » Elle se stoppa net, comme si elle venait de prendre conscience de ce qu'elle disait. Un lourd silence s'installai dans la chambre, puis, au bout d'un moment, je me levai et quittai la pièce, ne voulant rien entendre de plus. J'avais besoin de souffler, d'encaisser ce qu'elle venait de dire. Je n'étais pas gay, je n'avais jamais éprouvé rien envers une fille et pourtant, lorsque Juliette m'avait embrassé quelque minutes plus tôt, j'avais eu ces papillons qui avaient prit possession de moi, comme si j'avais atteins le paradis, quelque chose en ce genre.

Hiver deux mille onze.

« Maelys j'en suis incapable, je vais finir par lâcher prise. » Evelynn poussa un profond soupir et prit place sur la chaise face au bureau, un air de cadavre ambulant au visage. « Alors tu ne dois pas être faite pour danser alors. » Un fier sourire aux lèvres, je continuai de prendre des notes, agissant comme si elle n'existait pas. J'en avais marre de ses lâcheurs, une bande de paresseux qui au bout d'une semaine en avait déjà marre de bouger leurs fesses et qui m'abandonnait, me laissant seule avec cette merde qu'était de trouver d'autre danseurs pour le spectacle qui avait lieu chaque été et chaque hiver. Voyant qu'elle ne parlait toujours pas, je laissai tomber mon crayon contre le cahier posai mon menton dans l'une de mes mains et je lui lançai un regard noir, sachant très bien à quoi j'allais avoir droit. « Honnêtement, je ne suis plus capable. Je crois pas continuer. » Je lui montrai la porte du doigt, n'ayant même plus envie de perdre mon temps à jouer les suppliantes. Puis, alors que j'allais quitter, il fit son entré dans le bureau. « Mademoiselle Monroe ? » J'hochai lourdement de la tête. « Vous êtes ? » Il était canon, avec un air à la badboy, il semblait tout droit sortir d'un magazine de mode. « Je suis Felix, je travaille pour la banque. » Et voilà, j'avais trouvé le ' mais ' de cette affaire. Il venait sans doute me parler des problèmes d'argent, des payements que je n'avais pas fait et du fait que mon école était sans aucuns doutes sur le point de fermer si je ne payais pas ce que je devais. Roulant des yeux, je pris place à nouveau à mon bureau et lui pointai la chaise pour qu'il s'installe. « Écoutez, je sais que vous devez tenir comme tout à cet établissement et aux cours que vous donnez à ces jeunes, seulement vous êtes en retard pour les paiements et la banque ne peux plus attendre mademoiselle. Ils vous donnent encore un mois, puis si dans un mois vous n'avez pas payez les deux mille dollar, nous fermons tout et adieu vos cours de danses. »

« Je vais le tuer, je te jure que je vais lui enfoncer un pieux dans le cœur avant de lui arracher les tripes. » Juliette éclata de rire et malgré la haine et la colère, je ne pus que suivre ses rires. Elle était si jolie et je ne pouvais m'empêcher d'être heureuse en sa présence. Nous avions connus des misères, des problèmes et maintes fois j'avais manquer la perdre à tout jamais, seulement nous nous étions serrés les coudes et nous avions passés au travers tout, ou du moins presque. J'étais dingue d'elle, totalement amourachée et je ne pouvais que le cacher, le garder pour moi et ce jusqu'à ce qu'un jour ces sentiments disparaissent. Je ne voulais pas tout gâcher, je ne pouvais pas lui avouer trois ans plus tard que moi aussi j'étais complètement amoureuse d'elle. Surtout que je ne pouvais même pas m'avouer à moi-même que j'étais gay, s'en était trop. « On va trouver l'argent Maelys, j'en suis certaine. Baisses pas les bras, on va faire tout en notre possible. » Elle passa ses bras autour de mon coup et je ne pus m'empêcher de frissonner en contact d'elle, ce que j'aurais donné pour passer ma vie ainsi. « Bon c'est pas que je t'aime pas, mais j'ai rendez-vous ce soir et je si je tiens à être prête, vaut mieux pas que je perdre mon temps. » Décidément ils avaient tous éprouvés un malin plaisir à me torturer ce soir-là. Evelynn qui quittait la troupe, Felix le banquier qui venait faire chier avec ses menaces et voilà que Juliette avait rendez-vous avec un autre canon. « Comment tu me trouves ? » Juliette venait tout juste de ressortir de sa chambre, un grand sourire aux lèvres. Elle portait une magnifique petite robe gris, des collants noirs ainsi qu'une paire de bottes qui ressemblait plus à des pantoufles qu'autre chose et elle n'était plus magnifique que jamais. J'avais toujours aimé ce sens du style chez elle. Elle ne suivait pas les modes, s'habillait comme bon lui semblait et elle ne faisait qu'être plus jolie à chaque fois. « T'es parfaite. » murmurais-je.

NAAAAAA (...) YA !
J'exige un lien beauté, c'est non négociable.

JULES: merci.
PAULINE: t'es partout toi, ahah j'suis cassie sur thub. pour le lien, c'est certain.

Décidément qu'on se croise ma Cassie,
Je t'adooooore toi et j'espère que tes soucis du MP vont mieux (:

Oui ca va beaucoup mieux, les choses se sont arranger et disons que je le prends beaucoup mieux. Puis, merci beaucoup Apoline. Clemence en avatar, magnifique.

GEMMA. merci beaucoup !

Tous des avatars canons.
merci beaucoup, vous êtes gentils !

Je suis désolé pour le double-post, seulement j'ai terminé ma fiche. Puis je suis désolé d'avoir prit un peu de temps, j'ai été énormément occupé cette semaine.